Paroles:

J'bouffferais bien un tacos,
elle prefère 50 makis
Prends ce son comme maquette.
prends ce son comme crash test
Tout n’est jamais aquis,
j'fais confiance qu'à mes racines
Pas besoin de faire la machine,
j'crois sentir le crachin
J'crache un morceau facile
ou futur morceau classique
J'guette l’horizon…
une branlée de fils de pute sur des type beat
Clair concis comme un haïku,
j'croise fdps en manque d'amour
Tous mes poblèmes dans les égouts,
c’est plus facile que de les résoudre

Ils veulent m’apprendre à conduire
t'as cru c’est toi qui commande
Ils veulent m’apprendre à mentir
la vérité est vraiment violente
Impossible de ralentir
j’cours à ma perte le temps d’un vers
J'rap la vie j’suis pas d'en haut
j’suis pas d’en bas, j’sais pas d’où j’suis

J'suis tout petit la terre est grande!
Qu’est-ce qu’elle est élégante!
Si j’pouvais muter ses gens,
si j’pouvais vaincre mes démons

Les rares moments où j’vois mon père,
quand j’me couche tout contre elle
C’est là que je suis bien faut pas qu’on traine
il faut qu’on file comme les étoiles (aya)

Si tu t’sens libre pas besoin de calibre
Si tu t’sens vivre c’est déjà ça
...
Y'a qu’mon veau-cer qui fait des via ferrata
Quand j’suis d’attack y’a pas d’release
...
Drôle et touchant comme Lil Aziz,
là je mange un vivaldi

Nique la musique de France
j’suis comme FF dans cette récré
Nique la musique de France
j’suis comme FF dans cette récré

J'passalaqua mais c’est trop chaud
Mon son jet lag, pour eux c’est trop tôt
Marque comme Paupau tu tires: poteau
sortant, c’est dommage dommage dommage

Avec fratés comme les Jonas,
tu dis de la merde comme Enora
Comme sous amné goyave,
j’écris bien mieux comme Léonard
J'veux vendre des disques mais ça périt au bout d’trois mois
crois moi, j’veux pas finir chez Def Jam avec un blaze de 3 lettres
crois moi, crois moi!
même pour un contrat d’trois mois,
appelle bureau j’suis pas là,
dans mon casque FF Inch Allah,
j’remonte le temps et j’crée l’décalage
Fuck mon paraf sur ton pap’lard
on a aboli l’esclavage
Toi tu m'cases là? Toi tu m’casses les!
J'vois les gens et j’préfère Babar!